DNCG : Gérard Lopez, plus le seul à pouvoir décider de faire appel ?

Gérard Lopez, le président propriétaire des Girondins de Bordeaux (Icon Sport)

Hier jeudi, le mois d’août se plaçait déjà dans la lignée de ses prédécesseurs : catastrophiques. Les représentants des Girondins de Bordeaux avaient rendez-vous avec la DNCG fédérale pour présenter un budget qui permettrait alors au club au scapulaire d’évoluer en National 1 la saison prochaine. Il semblerait que le gendarme financier n’ait pas eu confiance en ce qui était proposé par le club. En fin d’après-midi, l’instance du football notifiait une nouvelle rétrogradation des Girondins, cette fois en National 2. Si plusieurs recours sont possibles pour permettre aux dirigeants de plaider un maintien en troisième division, Gérard Lopez ne serait plus l’unique décisionnaire.

Gérard Lopez, le président-propriétaire des Girondins de Bordeaux (Icon Sport)
Gérard Lopez, le président-propriétaire des Girondins de Bordeaux (Icon Sport)

Selon les récents propos de Vincent Romain, journaliste Sud Ouest, la décision de faire appel de la rétrogradation n’appartient plus uniquement au président-propriétaire des Girondins de Bordeaux. En effet, chaque décision depuis l’ouverture du redressement judiciaire « doit être validée par les administrateurs judiciaires« . Ces derniers étaient d’ailleurs présents lors de l’audience devant la DNCG, hier jeudi 1 août. Cet été est bel et bien interminable.

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2 comments

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Cheminade

avec les casseroles qu’il avez comment a t’on put laisser Lopez devenir président d’un club , C’est comme donner les clés d’une bijouterie a Arsène Lupin

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Parnaut Carole

est’il possible de le virer et de mettre quelqu’un d’autre a la place comme président et qu’il puisse gérer au mieux le club. Mais c’est pas possible que Bordeaux soit tombé aussi bas avec ce monsieur Gérard Lopez.p