Girondins. Malcom Bokelé confie vivre « très mal » la situation

Malcom Bokele sous les couleurs des Girondins de Bordeaux (Icon Sport)

Malcom Bokele fait partie de ceux qui n’ont pas encore trouvé de club pour rebondir après la perte du statut professionnel des Girondins de Bordeaux. Le défenseur international camerounais s’entraine toujours au Haillan, sous la tutelle d’Erwan Lannuzel. Le désormais ex-joueur des Girondins de Bordeaux a accepté de répondre aux questions de France Bleu Gironde. Un entretien dans lequel il fait part de sa profonde tristesse devant la situation que traverse son club formateur.

Malcom Bokele sous les couleurs des Girondins de Bordeaux (Icon Sport)
Malcom Bokele sous les couleurs des Girondins de Bordeaux (Icon Sport)

Malcom Bokele vit « très, très, très mal » la situation

Interrogé sur sa gestion émotionnelle de la situation des Girondins de Bordeaux, Malcom Bokele répond. « La situation ? Je la vis très, très, très mal ! Déjà personnellement parce que c’est un club auquel je tiens beaucoup aujourd’hui, qui est entré dans mon cœur. Ça me fait de la peine de voir les Girondins dans cette situation-là. Je pense aux salariés, à la section féminine, aux gamins du centre de formation. C’est terrible.« 

Malcom Bokele sous les couleurs des Girondins de Bordeaux (Icon Sport)
Malcom Bokele sous les couleurs des Girondins de Bordeaux (Icon Sport)

Avant de poursuivre. « Au départ, on a essayé de faire abstraction de tout ça. On sortait d’une mauvaise saison et on voulait reprendre celle-ci de la meilleure des manières et surtout sans imaginer ce genre de problèmes pour le club. En tout cas, pas à ce niveau-là. J’avoue que ça fait vraiment mal. » Et à Malcom Bokele de conclure. « Franchement, vraiment, ce qui me met en colère, ce sont les conséquences pour les jeunes. Quand vous voyez les parents venir récupérer leurs enfants en larmes, c’est horrible pour moi. Il y a aussi les salariés qui sont là depuis 15, 20 ans, qui ont vu des générations entières passer par le club. Je me mets à leur place et ça doit être un choc.« 

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