Girondins : les premiers candidats au rachat refroidis par le prix du club

Thomas Jacquemier devant le siège de la LFP (Icon Sport)

Ce mercredi 31 juillet était un jour important pour les Girondins de Bordeaux. Si ce rendez-vous à la mairie n’avait rien de concret pour l’avenir du club, il a permis de voir se rassembler, à des horaires plus ou moins décalés, différentes personnalités. Les représentants du club, Thomas Jacquemier et Laurent Cotret, ont donné un prix à payer pour racheter l’entreprise : 25 millions d’euros. Une somme qui semble avoir refroidi les candidats qui ont répondu à l’appel de Pierre Hurmic. Désireux de faire en sorte que les Girondins de Bordeaux finissent par être dans les mains d’un consortium de passionnés, la réalité est tout autre.

Bruno Fievet, candidat au rachat des Girondins (AFP)
Bruno Fievet, candidat au rachat des Girondins (AFP)

Et face à ce montant dévoilé, les intéressés comme Pascal Rigo, Elie Simon et Benjamin Gufflet, présents à la réunion comme l’indique L’Equipe, ne semblent pas enclin à mettre une telle somme pour racheter le club. Ces 25 millions d’euros correspondent au « montant nécessaire pour monter un plan de redressement, une somme qui a glacé l’assistance : 4 M€ pour financer la saison, 15 M€ à mettre dans le plan avec un plan social massif dont le coût est estimé à 8 M€ et le reste pour la reconstruction d’un centre de formation« , explique le quotidien sportif français.

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3 comments

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Mireille Severac

Et les joueurs, Zidane, Liza, dugua ils font quoi pour sauver le club qui a lancé leur carrière.😁😁😁😁

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Charpentier

les candidats n’ont pas a reconstruire le centre de formation c est a la mairie et la région a payer c’est frais et demander une somme a l’ancien Président .le plus important c’est de sauver les Girondins de Bordeaux. .et prendre un président qui a les moyens …d’assumer le club

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    Marc MOLANDRINO

    je rêve, les clubs de football ne sont pas gérés par des collectivités locales, qui déjà bien gentiment mettent à disposition des infrastructures ( stades, liaisons routières, parking, transports collectifs). Pensez vous que les repreneurs s’occupent réellement des clubs, ils s’en foutent tout comme les joueurs d’ailleurs.

    Les clubs ont une valeur financière point. Le reste n’est que littérature.